Avant, on produisait des disques pour les vendre, aujourd’hui, c’est surtout un objet promotionnel»,
Page 1 sur 1
Avant, on produisait des disques pour les vendre, aujourd’hui, c’est surtout un objet promotionnel»,
rVœu pieux ou réalité ? «Il ne faut pas se raconter d’histoires, la quantité de vinyles vendus baisse chaque année. Avant, on produisait des disques pour les vendre, aujourd’hui, c’est surtout un objet promotionnel», précise Fredi, ancien DJ hip-hop, responsable commercial de MPO, l’un des premiers presseurs européens qui produit six millions de vinyles par an sur ses seize presses installées en Mayenne. Si Fredi garde le sourire, c’est que, parallèlement à cette chute, le nombre de références a tendance à se multiplier, et des genres musicaux qui avaient déserté le support y reviennent doucement. «On produit de plus en plus d’albums rock», relève Fredi. Le vinyle, jusque-là réservé aux DJ professionnels à l’affût de maxis pour enflammer le dancefloor, redevient un objet convoité par le fan audiophile. «Je fais moins de disques pour les DJ et davantage d’albums pour l’écoute à domicile. Je regrave du rock, du folk comme le groupe La Maison Tellier. La variété est plus grande, mais ça reste une économie de projets de petite envergure : entre 500 et 2 000 exemplaires», confirme Hervé de Keroullas, de DK Mastering, petite structure qu’il a créée à Paris, autour du vinyle de les vendre, aujourd’hui, c’est surtout un objet promotionnel», précise Fredi, ancien DJ hip-hop, responsable commercial de MPO, l’un des premiers presseurs européens qui produit six millions de vinyles par an sur ses seize presses installées en Mayenne. Si Fredi garde le sourire, c’est que, parallèlement à cette chute, le nombre de références a tendance à se multiplier, et des genres musicaux qui avaient déserté le support y reviennent doucement. «On produit de plus en plus d’albums rock», relève Fredi. Le vinyle, jusque-là réservé aux DJ professionnels à l’affût de maxis pour enflammer le dancefloor, redevient un objet convoité par le fan audiophile. «Je fais moins de disques pour les DJ et davantage d’albums pour l’écoute à domicile. Je regrave du rock, du folk comme le groupe La Maison Tellier. La variété est plus grande, mais ça reste une économie de projets de petite envergure : entre 500 et 2 000 exemplaires», confirme Hervé de Keroullas, de DK Mastering, petite structure qu’il a créée à Paris, autour du vinyle
Reglisse- Invité
Sujets similaires
» qui à le droit de vendre des calendriers
» avez vous des disques de:
» Les livres sur la musique et sur les cotations de disques.
» Mon père m'a legué ses disques vinyle 33T et 45T
» Annuaires pour collectionneurs
» avez vous des disques de:
» Les livres sur la musique et sur les cotations de disques.
» Mon père m'a legué ses disques vinyle 33T et 45T
» Annuaires pour collectionneurs
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Mar 4 Fév - 12:40 par Invité
» cpa tantaloche haute marne
Lun 16 Déc - 10:02 par Invité
» De toute évidence ce forum n'intéresse personne
Lun 22 Juil - 7:02 par Admin
» affaire Thérèse Humbert
Ven 19 Juil - 11:32 par Admin
» Pochette Johnny Halliday
Ven 19 Juil - 11:16 par Admin
» Assignat sous la révolution....
Ven 19 Juil - 10:45 par Invité
» La détection des faux dans la peinture de chevalet
Ven 28 Juin - 14:05 par Admin
» pourquoi le vinyle ?
Ven 28 Juin - 13:50 par Invité
» Qu'est-ce qu'un IPOD 160 go et comment l'utiliser ?
Ven 28 Juin - 13:38 par Invité